6 conseils pour organiser soi-même son voyage en Egypte
Au cours de notre séjour en Egypte avec les enfants, j’ai pris tout un tas de notes sur les aspects pratiques et logistiques de notre voyage. Ce sont des petites choses qu’on n’avait pas forcément en tête avant de partir ou des sujets pour lesquels on n’avait pas facilement trouvé d’information avant le départ. Organiser soi-même son voyage en Egypte est tout à fait possible, malgré ce qu’on peut encore lire ici ou là. Voici 6 conseils pour vous y aider !
1/ Optez pour le visa en ligne
Les Français peuvent entrer en Egypte avec une carte d’identité ou un passeport, les deux devant être valides au moins 6 mois après la date de retour en France. Si vous voyagez avec une carte d’identité, les formalités pour le visa semblent différentes et j’ai déjà lu que des compagnies aériennes pouvaient vous refuser l’embarquement. Donc si vous êtes dans ce cas, renseignez-vous bien à l’avance pour être sûr que tout est ok.
Le visa est obligatoire pour tous les voyageurs. Vous lirez partout que vous pouvez facilement l’obtenir à l’aéroport lors de votre arrivée sur le sol Egyptien. C’est tout à fait vrai. Le visa vous coûtera 25 USD qu’il faut régler en espèces. Pour vous faciliter la vie et ne pas devoir changer des dollars avant votre départ, je vous conseille d’opter pour le visa en ligne. Je suis très étonnée de ne jamais lire cette recommandation mais c’est ce que nous avons fait et c’était vraiment très pratique ! Le site officiel est le suivant : visa2egypte.gov.eg.
J’ai fait la demande une semaine avant notre départ et nous avons reçu les visas par mail sous 3 jours. Le prix en ligne est également de 25 USD. Chaque visa nous a donc coûté 23,68€. Simple, efficace.
A l’arrivée à l’aéroport du Caire, alors que tout le monde se presse au guichet pour obtenir son visa, nous, nous sommes directement passés à la douane ! 🤓
💡A noter qu’à l’aéroport du Caire, le guichet Bank of Egypt ne vend que des visas et ne fait pas de change de livres égyptiennes.
2/ Voyagez avec des euros en espèces
Ayez suffisamment d’euros sur vous !
Ce premier sujet du visa soulève d’emblée la question des devises puisque les voyageurs, peu importe leur nationalité, sont invités à le payer en dollars américains s’ils le font sur place. L’argent en Egypte n’est pas une question aussi simple que cela. La monnaie est la livre égyptienne (LE ou EGP) mais beaucoup d’acteurs du tourisme demanderont à être réglés en espèces en euros ou en dollars.
Le cours de la livre étant très fluctuant (1€ = 33EGP quand nous sommes partis, 1€=55EGP vers la fin de notre séjour), les devises internationales telles que l’euro et le dollar représentent une sécurité importante pour les Egyptiens. Cependant, plusieurs personnes nous ont confirmé sur place que si elles se faisaient arrêter par la police alors qu’elles étaient en possession de devises étrangères, elles auraient des problèmes. Vaste hypocrisie du système…
Quoi qu’il en soit, partez avec suffisamment d’euros dans vos poches. Ce n’est jamais très confortable de voyager avec beaucoup d’argent liquide mais dans ce cas, c’est nécessaire. Vous en aurez besoin pour payer les excursions (désert blanc, montgolfière par exemple), les hôtels (via Booking, le prix de la chambre n’est quasiment jamais débité à la réservation, vous devrez le payer sur place), les chauffeurs (ce sont les seuls avec qui nous avons réussi à négocier de payer en livres égyptiennes…).
Si vous payez en euros, et surtout si vous risquez d’être un peu à court, refusez qu’ils vous rendent la monnaie en pièces, vous aurez vraiment du mal à les écouler dans le pays.
Retirer des livres égyptiennes
A l’aéroport du Caire, à votre arrivée, vous pouvez changer des euros contre des livres égyptiennes. Il y a une banque dans la zone de récupération des bagages.
Sinon, il y a des distributeurs de billets un peu partout mais attention aux frais, même avec une carte bancaire sans frais ! 🙈 Je m’explique… Lorsque vous retirez de l’argent à un distributeur à l’étranger, la carte Ultim de BoursoBank dont je vante régulièrement les mérites, vous permet de retirer 3 fois par mois sans frais. Cela signifie que BoursoBank ne vous prend rien sur votre retrait d’espèces mais ce n’est pas forcément le cas de la banque qui a installé le distributeur que vous utilisez !
En Egypte, pour retirer des livres gratuitement (sous réserve d’avoir une carte qui vous le permet), vous pouvez aller aux distributeurs de la National Bank of Egypt qui sont installés dans les banques ou dans les camions-banques*. Un distributeur de la National Bank of Egypt installé dans un hôtel ou une supérette vous facturera des frais (et parfois beaucoup !).
*ce que j’appelle un camion-banque c’est comme un food-truck mais avec des distributeurs de billets ! Concept étonnant…
A deux reprises, nous avons dépanné des touristes Chinois qui avaient beaucoup trop de livres égyptiennes sur eux qu’ils n’arrivaient pas à écouler. On leur a payé l’entrée des sites touristiques par carte et eux nous ont remboursé en espèces. Distributeur sans frais ! 😜
💡D’ailleurs, je vous le précise ici, toutes les entrées des sites touristiques se payent par carte bancaire. Là encore, nous étions contents d’avoir notre carte Ultim de chez BoursoBank qui nous permet un nombre illimité de paiements sans frais à l’étranger !
3/ Gare aux arnaques !
Un touriste Européen a forcément plein d’argent à dépenser !
C’est probablement le plus difficile à supporter quand on voyage en Egypte en autonomie : le sentiment d’être un bon pigeon qui a de l’argent à dépenser. Voici quelques attitudes à adopter pour appréhender les multiples sollicitations avec plus de légèreté :
- Règle d’or n°1 : négociez, négociez, négociez. Ayez une idée du prix que vous êtes prêt à payer et divisez-le par deux pour commencer la négociation.
- Apprenez à lire les chiffres arabes ! C’est très utile sur les marchés pour acheter fruits et légumes au vrai prix !
- Le kilo de tomates est à 5 EGP, le kilo de fraises à 25 ou 30 EGP, les bananes à 10 EGP.
- Quand vous dites « non, merci » à une sollicitation, soyez courtois mais ferme. Une réponse qui marche assez bien c’est « on l’a déjà fait » ou « c’est bon, on a déjà un guide/un chauffeur ». Dans ce cas, pas de harcèlement ! « Un tour en felouque pour le coucher du soleil ? On l’a déjà fait hier, merci. » Et le mec disparaît directement.
- Restez poli même si cela vous agace. La plupart du temps, même s’ils ont évidemment quelque chose à vendre, les rabatteurs sont contents d’engager la conversation, de savoir d’où vous venez et de dire quelques mots dans votre langue.
- Une seule exception à cela : les gens à Abu Simbel qui nous saluaient alors qu’ils n’avaient rien à nous vendre !
- Payez uniquement à la fin de la prestation, jamais d’avance (sauf pour les nuits d’hôtel).
Quelques arnaques auxquelles faire attention
Côté arnaques, en voici quelques-unes que nous avons repérées :
- A l’aéroport du Caire, le service officiel de taxi vous certifiera que les Uber n’ont pas le droit de venir à l’aéroport. Pour 20 USD, lui, vous emmène où vous voulez ! Bizarrement, au retour, notre chauffeur Uber n’a rencontré aucune difficulté pour entrer dans la zone aéroportuaire et la course nous a coûté seulement 5€ depuis le centre-ville…
- A Louxor, vous trouverez tous les arguments possibles et imaginables pour vous inciter à faire le vol en montgolfière à 8h. C’est à vous de voir mais sachez que le vol au lever du soleil est absolument magique précisément grâce aux couleurs du sunrise et au fait que tout le monde le fait à ce moment-là. Voir les autres montgolfières dans le ciel de Louxor ajoute indéniablement au charme de l’expérience… Je vous en dis plus dans mon article dédié au survol de Louxor en montgolfière.
- A Assouan, nous avons fait un tour d’une heure en felouque pour 300 EGP. Le prix était proportionnel à la durée. Mais sur le quai, on a aussi eu des propositions à 200 EGP de l’heure. Notre felouquier nous a dit qu’ils disaient ça pour attirer le chaland mais qu’une fois sur le bateau, c’était 200 EGP par personne et pas pour le bateau entier !! Je ne sais pas si c’est vrai mais faites attention !
- Dans tous les sites touristiques, vous verrez des gardes qui proposent gentiment d’ouvrir une barrière juste pour vous. Evidemment, en retour, ils attendent un petit billet. D’autres sont un peu plus subtils et vous servent de guide. Le résultat est le même : bakchich…
💡De manière générale, vous ne risquez rien, c’est juste votre portefeuille qui risque de prendre cher… Soyez vigilants mais pas méfiants et gardez toujours à l’esprit le prix qui vous semble juste, celui que vous êtes prêt à payer pour un service ou un produit.
La question du pourboire
Par ailleurs, sachez que la tradition du pourboire est très présente dans le pays et qu’il est mal compris que les touristes n’en donnent pas. Les pourboires participent le plus souvent à la rémunération des employés. Ayez donc toujours des petites coupures de livres égyptiennes pour distribuer des pourboires ! 10% au restaurant, 10 EGP à la dame pipi, 300 ou 400 EGP par jour à un guide, 100 EGP à un chauffeur…
4/ Déplacez-vous en toute sécurité (et restez zen)
Se déplacer au pays des pharaons, c’est tout un poème et lorsqu’on décide d’organiser soi-même son voyage en Egypte, les transports sont un sujet à part entière.
Au Caire, c’est très facile, je vous conseille d’utiliser Uber. Cette application a deux avantages : le prix est fixé à l’avance et vous ne payez pas plus cher juste parce que vous êtes étranger ; la destination est connue d’avance et les chauffeurs Uber sont les rares Egyptiens à savoir utiliser un GPS !
Pour le reste du pays, il y a différentes options.
- Pour relier le Nord au Sud du pays, typiquement faire Le Caire-Louxor, vous pouvez opter pour le train (infos et réservations sur https://abelatrains.com/) ou le bus (avec les compagnies BlueBus ou GoBus par exemple).
- Dans tous les lieux touristiques, vous trouverez des taxis ou des chauffeurs privés sans même les chercher !
- Pour nous accompagner sur notre journée de visite à Louxor par exemple, nous avons trouvé un taxi au pied de notre hôtel. Cette même personne nous a organisé le transfert vers Assouan et nous a mis en relation avec un taxi dans Assouan. Le taxi d’Assouan nous a organisé le transfert à Abu Simbel et ensuite, le retour jusqu’à Louxor. Bref, tous les déplacements que nous n’avions pas organisé à l’avance se sont facilement mis en place suite à un seul contact ! Cela ne nous a pas empêchés d’étudier des propositions alternatives pour faire jouer la concurrence et de négocier ferme. 😉
A noter que les trajets en voiture ne sont pas toujours des plus agréables. Dès que vous traversez des villes ou des villages, les dos d’âne et les trous dans la route sont fréquents, obligeant le conducteur à quasiment s’arrêter très souvent. Et entre chaque, évidemment, il met le turbo.
La conduite en ville est sportive, une voie de circulation en vaut systématiquement deux et plus on colle la voiture de devant, mieux c’est ! En klaxonnant, c’est encore mieux ! 🙈
💡La sécurité routière, vous le devinez, est un concept assez inexistant. La ceinture de sécurité aussi. Le plus souvent, quand il y en a, elles sont inutilisables. Ne parlons même pas du concept du siège auto… Si vous voyagez avec de jeunes enfants et que ce sujet vous inquiète, adressez-vous à des agences avec pignon sur rue. Elles sauront répondre aux standards Européens dans ce domaine.
Lorsque vous êtes à pied et que vous devez traverser une route, ne vous fiez pas aux rares passages piéton ni aux quelques feux que vous pourriez voir. Même un feu piéton vert ne signifie pas que vous avez la priorité !! En Egypte, on traverse voie par voie, tranquillement, en tenant fermement la main des enfants. Le mieux est de suivre des locaux pour les premières fois, ensuite ça passe tout seul. 😉
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5/ Restez connectés
Pour un voyage en Egypte, il me semble essentiel de rester joignable et de préférence sur un numéro Egyptien. Le numéro égyptien n’est pas obligatoire mais il nous a été utile par exemple pour finaliser notre réservation de bus entre Le Caire et Louxor.
Quoi qu’il arrive, tous vos contacts avec les chauffeurs, les hôtels, pour organiser vos activités, etc… se feront via Whatsapp. Donc c’est vraiment important d’être connectés et joignables en-dehors du wifi de l’hôtel. (Wifi qui peut d’ailleurs se couper en cas de coupure d’électricité, situation qui n’est pas rare, notamment à Louxor).
💡Si votre forfait français ne couvre pas l’Egypte, vous pouvez facilement acheter une carte sim égyptienne à l’aéroport du Caire. Dans la zone de récupération des bagages, il y a plusieurs opérateurs présents : Orange, Vodafone et Etisalat. Vous pouvez comparer les prix entre les trois. On ne s’est pas donné ce mal et on a opté pour une carte Orange. Elle nous a coûté 350 EGP pour 14Go pendant 30 jours. Suffisant pour nous quatre pour deux semaines.
Et pour continuer dans la communication, il est important de parler anglais pour communiquer avec les Egyptiens. Peu parlent français (même si beaucoup savent dire « Bonjour, comment ça va ? »). Pour l’anglais, ne vous tracassez pas trop, un anglais scolaire, basique sera parfait ! Et en cas de problème, pensez à Google Translate (auquel vous avez accès grâce à votre carte sim locale 😉) qui peut même traduire l’arabe écrit. Très pratique pour les cartes de restaurant !
6/ Profitez à fond !
Dernier conseil et pas des moindres : profitez à fond de votre voyage en Egypte !! C’est souvent un voyage dont on a rêvé depuis l’enfance tellement la civilisation égyptienne est fascinante et fantastique.
Mais c’est aussi un voyage fatigant avec de longs trajets et des nuits pas toujours confortables (dans le désert, dans le bus) et des réveils très matinaux pour profiter des levers de soleil. Par ailleurs, selon la saison, il peut n’y avoir qu’un petit nombre d’heures entre la dernière prière de la journée et la première le lendemain matin. Les mosquées étant toutes équipées de très bons mégaphones, c’est difficile de passer à côté. Impératif dans vos valises : des boules Quiès !
Pour manger
C’est assez facile de bien manger. Chaque fois que nous avons mangé égyptien, c’était délicieux et très copieux. Même si c’est un peu toujours la même chose : riz, légumes, falafels… Il est également facile de trouver des plats Européens : des pâtes, des pizzas, des frites. Sur les marchés, vous trouverez fruits, légumes et pain, chips et biscuits dans les supérettes.
En revanche, en-dehors du Caire, j’ai trouvé un peu difficile d’accéder au boui-boui qui fait des plats à emporter et où on s’arrête sur la route. Du coup, c’est soit restau (et ça prend un peu de temps), soit pique-nique improvisé : chips, tomates, fruits.
En Egypte, l’eau n’est pas potable. Les bouteilles plastiques sont légion. Nous avons pu globalement y échapper grâce à notre système de filtration Steripen ! Avantage : on ne s’est jamais retrouvé à cours d’eau. Inconvénient : l’eau a parfois un goût de terre…
Comment s’habiller lorsqu’on est une femme ?
Je me posais la question avant de partir et je n’avais pas vraiment trouvé de réponse satisfaisante…
Les femmes en Egypte sont invisibles sauf à la nuit tombée où, dans les rues, c’est un joyeux melting-pot hommes/femmes/enfants/jeunes/vieux… En revanche, en journée, on ne voit que des hommes. C’est donc parfois un peu délicat de se positionner en tant que femme. Par exemple, sur un long trajet, les chauffeurs demandaient toujours à mon mari s’il voulait qu’on s’arrête pour un thé ou un café. Et moi alors ? Je n’ai jamais eu la proposition…
Pour revenir à la question des vêtements, dans les lieux touristiques, il n’y a aucun problème à être en short et manches courtes. Je dirais simplement d’éviter les mini-shorts et les décolletés plongeants mais j’ai porté des shorts au-dessus du genou quasiment toutes les vacances et ça n’a posé de problème à personne. Pas de regards gênants, pas de remarques.
Evidemment, dans les édifices religieux, il faut se plier aux codes locaux : jambes et bras couverts. Dans les églises du Vieux Caire, c’est valable pour les hommes également qui ne sont pas les bienvenus en short.
J’ai simplement ressenti un peu de malaise quand, justement, à la nuit tombée, j’étais toujours en short et en t-shirt parce que ça dénotait très clairement avec les femmes égyptiennes. Là, la différence se voyait. Toutes les égyptiennes ne portent pas le voile mais toutes ont les jambes et les bras couverts. Et quand même beaucoup portent le voile intégral. Donc forcément, je me sentais différente. Je n’avais pas plus de regards gênants ou de remarques mais je me sentais moins à l’aise.
💡Pour parer à cela, j’avais toujours dans mon sac deux foulards : un qui peut facilement se transformer en jupe longue et l’autre pour faire une étole si je devais me couvrir les bras.
Question sécurité
Il est fini le temps où on ne pouvait pas circuler en Egypte librement. Les visites de sites en convois sécurisés sont révolues. A aucun moment, nous n’avons ressenti de l’insécurité mais nous avons rapidement arrêté de compter le nombre de militaires ou de policiers qu’on a croisés ! Il faut bien sûr rester vigilant et comme toujours, je conseille de consulter les recommandations officielles avant d’organiser soi-même son voyage en Egypte.
Néanmoins, nous avons sciemment fait deux entorses aux recommandations officielles :
- le désert blanc est toujours (en mars 2024 quand j’écris ces lignes) en zone rouge. Pourtant, des touristes s’y rendent chaque jour sans souci.
- rouler la nuit est fortement déconseillé. Après avis d’autres voyageurs, nous avons décidé de prendre deux bus de nuit…
A chacun de mettre le curseur où il se sent à l’aise…
Les contrôles de police sont assez fréquents sur la route sur les longues distances. Le chauffeur est le plus souvent invité à laisser un petit billet. Parfois, le policier note le nombre de passagers et notre nationalité mais on n’a jamais dû donner nos passeports.
En revanche, nous avons constaté que les Egyptiens qui nous prenaient en charge faisaient vraiment attention à nous et s’attachaient à nous remettre à quelqu’un une fois leur service terminé. Jamais un chauffeur ne nous a laissés tout seuls dans la rue sans être sûrs que nous étions au bon endroit ou que quelqu’un d’autre venait nous récupérer. C’est parfois un peu oppressant d’être maternés à ce point mais c’est en même temps vraiment sécurisant !
♥♥♥ Flo & co ♥♥♥
Complétez votre lecture sur l’Egypte avec notre dossier complet !
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